วันพุธที่ 25 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Bouddhisme
Le bouddhisme est l'un des grands systèmes de pensée et d'action orientaux, né en Inde au VIe siècle av. J.-C.. Il est fondé sur un triple socle appelé les Trois Joyaux : les bouddhistes déclarent prendre refuge dans le Bouddha (le fondateur du bouddhisme), dans le Dharma (la doctrine du Bouddha) et dans le Sangha (la communauté des fidèles pour certains, l'Ordre monastique pour d'autres).
La difficulté à définir le bouddhisme à l’aide de catégories classiques fait qu’il est souvent considéré comme une
philosophie ou une religion.
Le Bouddha
À l'origine, le bouddhisme n'est pas une philosophie, mais une « leçon de choses » (Dhamma en pali, Dharma en sanskrit), l'enseignement de la réalité, un exposé des faits, de la souffrance, de son origine et de sa cessation pour finalement atteindre le nirvāna. Il donnera naissance par la suite à une riche tradition philosophique et parfois religieuse. Il est quelquefois décrit comme une « science de l'esprit » inspirée par les enseignements du Bouddha, « l'Éveillé », un homme dont l’existence historique est attestée, même si les détails de sa vie restent, pour beaucoup d’entre eux, invérifiables.
Le Bouddha est un chef spirituel qui vécut au
VIe siècle av. J.-C.. Les années de sa naissance et de sa mort (ou parinirvāṇa) ne sont pas claires ; il aurait vécu à peu près quatre-vingts ans, mais les traditions ne s'accordent pas. La plus ancienne, de langue pāli, qui a semblé longtemps la plus probable, le fait naître en 624 av. J.C. et mourir en 544 av. J.C.. Les Thaïlandais font débuter le calendrier bouddhique en 543 av.J.C., un an après le parinirvana.
Né probablement à
Kapilavastu (Uttar Pradesh) de la reine Māyā, morte à sa naissance, et du roi Śuddhodana, il avait pour nom Gautama, qui serait soit son gotta (nom de famille), soit une appellation signifiant « fils de Dame Gautami »,[1] sa tante maternelle et mère adoptive. Il appartenait au clan Śākya (ou Shakya) de la caste kshatriya des nobles-guerriers, d’où son surnom de Shākyamuni, « le sage des Śākya ». C'est là le nom principal que la tradition dite du Mahāyāna lui donne - Bouddha Shākyamuni -, et par lequel on le distingue des autres Bouddhas. Siddhārtha est un prénom qu'on lui a inventé au début de l'ère chrétienne ; il est parfois appelé Siddhārtha Gautama (pāḷi : Siddhattha Gotama).
La vie du Bouddha est riche en légendes décrivant des miracles et des apparitions divines. Par ailleurs, c'est seulement 300 ans après sa mort qu'elle commence à être connue par des textes, en même temps que ses enseignements, grâce à l'empereur
Ashoka qui en fait la promotion sur toute l'étendue de son domaine et envoie des missions à l'étranger. Malgré le mystère qui entoure les premiers temps du bouddhisme, on ne peut cependant pas nier qu'un guide spirituel nommé Gautama ait existé. À cette époque, le monde hindouiste était agité par d'importantes dissensions philosophiques et spéculatives ; c'est d'ailleurs à ce moment que le jaïnisme commence à s'imposer réellement. Pour être signifiant au sein de son milieu socio-culturel, le bouddhisme s'est imprégné d'hindouisme, auquel il a emprunté nombre de concepts, en les modifiant sensiblement parfois. Il a ainsi adopté le cycle des réincarnations (saṃsāra), qu'il réinterprètera en « cycle des renaissances », puisqu'il affirmera l'inexistence de toute âme pouvant se « réincarner », et le principe de la rétribution des actes (karma), c’est-à-dire des mérites et des fautes accomplies au cours des renaissances successives. Le Bouddha a souligné qu'il n'était ni un dieu, ni le messager d'un dieu, et que son système de pensée n'était pas d'origine divine, mais plutôt axé sur la compréhension de la nature de l'esprit humain, pouvant être redécouvert par toute personne par ses propres moyens et par l'expérience ; le bouddhisme des origines niait la création du monde par les dieux, la rédemption ou la révélation.
Les renaissances
À cause des trois poisons d'une part, et de la coproduction conditionnée de l'autre, les hommes sont amenés à renaître dans le Saṃsāra (le cycle des renaissances). Le "monde" (Loka) dans lequel ils renaîtront dépendra de leur karma, c'est-à-dire de leurs actions. Cette renaissance ne fait donc que prolonger indéfiniment la souffrance (« n'en avez-vous pas assez de gorger les cimetières ? » dit un texte). À noter que conformément au non-soi, ce n'est ni le même, ni un autre qui renaît (ce n'est pas, comme dans d'autres religions, une âme immortelle qui se « réincarne »). Le Bouddha propose de se réveiller de ce cauchemar, de chasser les nuages de la confusion et de l'illusion pour être illuminé par la réalité. Ainsi, la souffrance et le cycle karmique seront brisés. Il définit le but ultime de son enseignement comme étant « la délivrance », le « dénouement », « la libération de la souffrance » ou nirvāna.
Le bouddhisme indique que chacune de ces causes donne suite à la prochaine, jusqu'à ce que la cause de la douzième retourne à la première. Ce cycle de naissances et de décès ne s'arrête que lorsque l'on a atteint le nirvāṇa.
La roue de l'existence karmique représente ces trois poisons par un cochon (l'ignorance), un coq (l'attachement) et un serpent (l'aversion). D'autre part si ces trois poisons sont facteurs de souffrance (Duḥkha), sa naissance ne peut résulter que de l'ignorance initiale.
Le noble sentier octuple
Le noble sentier octuple (ariyāṭṭaṅgika magga) est la pratique de la discipline, de la concentration et de la sagesse. Ses huit membres sont :
1. Compréhension juste
2. Pensée juste
3. Parole juste
4. Action juste
5. Mode de vie juste
6. Effort juste
7. Attention juste
8. Concentration juste
On peut aussi traduire, à la place de l'adjectif juste, par les adjectifs parfait, complet ou total.
L'éthique bouddhiste et les préceptes
Dans le bouddhisme, l’éthique est basée sur le fait que les actions du corps, de la parole et de l’esprit ont des conséquences pour nous-mêmes et pour ce qui nous entoure, les autres comme notre environnement. Il y a deux sortes d’actions, les actions kusala (mot pali signifiant sain, habile, favorable, positif) et les actions akusala (malsain, malhabile, défavorable, négatif).
Les actions malhabiles sont celles qui prennent leurs racines dans les trois poisons de base: l’avidité, l’aversion et la confusion mentale ou l’ignorance. Elles tendent à avoir des conséquences mauvaises pour nous ou pour les autres. Les actions habiles sont celles qui sont exemptes d’avidité, de haine et de confusion mentale et qui, au lieu de cela, sont motivées par la générosité, par l’amour et la compassion et par la compréhension. Elles tendent à avoir des conséquences positives pour nous ou pour les autres. Dans le bouddhisme, une action n’est donc ni bien ni mal en elle-même, mais est favorable ou défavorable selon la motivation et l’état d’esprit qui la sous-tend.
L’éthique bouddhique nous invite donc à prendre conscience des états d’esprit dans lesquels nous nous trouvons et à partir desquels nous agissons, parlons ou pensons et à être responsable tant de ces états d’esprit que des conséquences de nos actions.
Ces principes sont déclinés dans des préceptes, qui ne sont pas des règles d'interdits, mais des guides de comportement éthique face auxquels nous pouvons nous mesurer et progresser. Ils peuvent aussi être vus comme le mode de fonctionnement naturel d'une personne éveillée.
L'éveil (bodhi)
Pour les theravādins, l'éveil est la compréhension parfaite et la réalisation des quatre vérités (il s'agit de se réveiller du cauchemar à répétition des renaissances successives) et de faire jaillir la vérité. Pour les adeptes du Mahāyāna en revanche, l'éveil a plus à voir avec la sagesse et la prise de conscience de sa propre nature de Bouddha.
L'éveil permet à l'homme d'entrer dans le
nirvāṇa, puis d'atteindre à sa mort le parinirvāna (extinction complète). Le cycle karmique est donc brisé à jamais.
Là où le bouddhisme theravāda insiste sur l'extinction complète et irréversible du
saṃsāra, le mahāyāna laisse aux bodhisattvas la possibilité de s'y maintenir (sans toutefois produire de karma), par compassion pour les êtres vivants, qu'ils vont alors guider vers l'éveil.
La vacuité
Dans le theravada, la vacuité est proche du concept d'anatta : le monde est vide de soi. Il existe une attention portée à la vacuité ainsi qu'une méditation vipassanā, contemplation de cette vacuité.
Mais le concept de vacuité, exposé par la littérature dite de la
prajñāpāramitā, et Nāgārjuna, prend un nouveau sens et fonde le Madhyamaka. Le Madhyamaka reconnaît l'enseignement de la coproduction conditionnée, mais il considère cette roue de la vie comme vacuité. Cet auteur proclame : "Le Vainqueur a dit que la vacuité est l'évacuation complète de toutes les opinions. Quant à ceux qui croient en la vacuité, ceux-là, je les déclare incurables."
Christian Thomas Kohl, Bouddhisme et Physique quantique
Histoire et développement du bouddhisme par pays
Le bouddhisme est né dans le monde indien, à peu près à la même époque que le jaïnisme, avec lequel il partage une certaine tendance à la remise en cause de l'hindouisme, tel qu'il était pratiqué à l'époque. Le bouddhisme reprend beaucoup de concepts philosophiques de son environnement, en leur donnant toutefois un sens sensiblement différent.

orchidaceae

Orchidaceae

La famille des Orchidacées (Orchidaceae) est une très grande famille de plantes monocotylédone. C'est la deuxième famille végétale la plus diverse (après les Asteraceae), avec plus de 25 000 espèces réparties en 850 genres.
Ce sont des plantes herbacées, de type divers,
autotrophes ou saprophytes, à feuilles réduites à des écailles ou développées, terrestres ou épiphytes, pérennes, rhizomateuses ou tubéreuses, des régions froides à tropicales. La symbiose, qu'elle soit de type autotrophie, saprophie voire parasitisme, se fait avec un champignon microscopique qui lui permet de pallier à la fois l'absence de toute réserve dans la graine, et l'absence de radicelles au niveau des racines. C'est une famille largement répandue mais on rencontre le maximum d'espèces en régions tropicales.
La
classification phylogénétique situe aujourd'hui cette famille dans l'ordre des Asparagales.

Description générale

Le nom Orchidée vient du grec orchis qui signifie testicule en référence à la forme des pseudobulbes de certaines orchidées terrestres des régions tempérées. Suivant les auteurs, le nombre d'espèces botaniques dans cette famille varie de 25 000 à 30 000. Ces chiffres en font l'une des plus importantes familles de plantes à fleurs, qui a pratiquement colonisé tous les milieux, à l'exception des déserts. Cette famille est aussi particulièrement intéressante car elle semble être l'une des plus récentes sur l'échelle de l'évolution : elle a notamment développé des caractéristiques rendant cette famille de plantes extrêmement économe en ressources : réduction du nombre d'étamines, symbiose avec un champignon, etc...

Culture et Commercialisation

Majoritairement d'origine tropicale, ces plantes, à la beauté fascinante et à la conservation délicate, ont fait l'objet, de la part de riches amateurs, à l'époque de l'expansion des empires coloniaux européens, d'un engouement particulier. Depuis, une meilleure connaissance de leur écologie, de la symbiose qui les unit à certains champignons spécifique du genre Rhizoctonia au cours du développement des embryons, la mise au point de milieux de cultures adaptés (stériles), ainsi que la création d'hybrides horticoles moins fragiles, ont démocratisé leur culture. La très grande variabilité génétique des orchidées, source de la richesse naturelle en espèces de ce taxon, la prête d'ailleurs à une hybridation artificielle : plus de 100 000 hybrides horticoles créés depuis la mise au point de méthodes de culture.

Hybrides horticoles

Outre les espèces botaniques et les hybrides naturels, le monde des orchidées comporte aussi d'innombrables variétés commerciales, le plus souvent hybrides. Beaucoup sont vendues en utilisant les genres définis par la taxonomie (cymbidium, phalaenopsis, etc.) mais il existe aussi des dénominations propres aux horticulteurs pour désigner les hybrides intergénériques (croisement entre deux genres proches afin d'obtenir un genre artificiel). Par exemple : Brassidium, Cambria, Laeliocattleya, etc. Les orchidées ont une facilité unique dans le monde végétale à produire facilement des hybrides entre espèces de genres diférents. De plus, ces hybrides sont souvent fertiles.

วันจันทร์ที่ 16 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

jambon

Le jambon est la cuisse (« jambe ») cuite ou séchée, fumée ou nature. Viande de porc, de sanglier ou d'ours etc.



Histoire

Le jambon fut pendant longtemps un mets royal ou réservé aux occasions spéciales. Très estimé sous l'Empire romain, il figurait sur les tables des empereurs. Au Moyen Âge, où l'on était grand consommateur de porc, le jambon était associé aux fêtes de la Semaine sainte.

Origine

Contrairement aux idées reçues le Jambon, dit de Bayonne, n'est pas originaire de Bayonne (Pays basque) mais du Béarn (Pau). Fabriqué à partir de porcs des vallées d'Ossau et d'Aspe, ce jambon était historiquement salé à Salies-de-Béarn puis exporté depuis le port de Bayonne vers d'autres régions françaises ou à l'étranger, via l'Adour (" d'où le nom de jambon de Bayonne ". Aujourd'hui, l'essentiel du jambon de Bayonne est fabriqué dans le Béarn. Le porc, et en particulier le porc noir, n'a été introduit dans le Pays basque que dans les années 1960 pour faire face à une grave crise agricole.

วันพุธที่ 11 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Laiton



Le laiton est un alliage de cuivre et de zinc, aux proportions très variables. Il contient souvent également d'autres métaux tels que le plomb, l'étain, le nickel, le chrome et le magnésium. Le nickel est utilisé dans les pièces de monnaie ou pour le plaquage du laiton, en raison de sa résistance à l'oxydation et à la corrosion. La corrosion fait apparaître à la surface du laiton une couche appelée vert-de-gris.
Le laiton est connu depuis la préhistoire, les Grecs le connaissaient aussi dans l'Antiquité. Il a été découvert bien avant le zinc.
Il ne faut pas confondre le laiton avec le
bronze, qui est un alliage de cuivre et d'étain, ni avec le régule, alliage d'étain ou de plomb et d'antimoine.
Le laiton est très facile à usiner mais relativement fragile. On l'utilise depuis longtemps pour la fabrication d'instruments de précision, d'éléments décoratifs pour le mobilier, d'instruments de musique, de robinetterie, etc. Le laiton est le plus utilisé des alliages de cuivre. C'est l'un des principaux métaux utilisés par l'industrie du
décolletage (fabrication de petites pièces tournées en très grandes séries).
Les planches de laiton sont utilisées en décoration pour la gravure et le guillochage (vernies, elle deviennent les plaques sur les portes des médecins par exemple).
Les laitons servent aussi de base à la fabrication des
alliages à mémoire de forme.
La
masse volumique du laiton est de 8 400 kg·m-3, sa conductivité thermique est d'environ 121 W·m-1·K-1.
Il existe trois catégories de laiton :


1. les laitons simples (binaires) : ils ne contiennent que du cuivre et du zinc. L'ajout de zinc abaisse la température du
point de fusion de l'alliage ainsi que sa conductivité électrique, mais en augmente la dureté et la résistance mécanique.

2.les laitons au plomb (40 % de zinc, 1 % à 3 % de plomb) : le plomb améliore l'usinabilité en se disséminant en fins globules qui permettent une meilleure fragmentation des copeaux.


3. les laitons spéciaux : ils ont pour but d'augmenter les propriétés mécaniques par l'addition d'éléments d'alliage (étain,
aluminium, arsenic, magnésium, nickel, fer, silicium…).

วันจันทร์ที่ 9 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Gemme



turquoise · hématite · chrysocolle · œil-de-tigre

quartz · tourmaline · cornaline · pyrite · sugilite

malachite · quartz rose · obsidienne flocon de neige· rubis · agate mousse

jaspe · améthyste · agate à rubans bleutés · lapis lazuli

Une gemme est une pierre fine, précieuse ou ornementales (voir § ci-dessous), ou n'importe quelle matière très dure ou colorée ayant l'aspect de ces pierreries et utilisée comme ornement.
Pour mériter l'appellation de gemme, cette matière (
minéral, roche ou une substance organique telle que perle ou ambre) doit être belle, surtout par sa couleur. Elle doit être peu altérable, et assez solide pour survivre à un usage constant ou aux manipulations, sans se rayer ou s'endommager.
Pierre brute arrachée à la terre par le mineur, une gemme est souvent taillée par le
lapidaire pour finir montée sur une bague, en boucle d'oreille ou tout autre ornements de joaillerie. Elle peut être naturelle, traitée ou fabriquée artificiellement (pierre synthétique).


Les pierres précieuses :

À l'heure actuelle uniquement les quatre gemmes suivantes sont classées parmi les pierres précieuses :

le diamant, transparent, (bleu pâle, blanc...),
l'
émeraude, transparente, (vert foncé)
le
rubis, transparent, (rouge clair à écarlate),
le
saphir, transparent, (bleu clair à moyen),

Les pierres fines :

Anciennement appelées semi-précieuses, elles regroupent les gemmes transparentes non classées parmi les pierres précieuses :

l'aigue-marine, transparente, (bleu vert pâle)
l'
améthyste, transparente, (pourpre)
la
citrine,
le
cristal de roche, transparent, (clair)
la
cordiérite,
la
géode,
le
grenat, translucide, (rouge, marron, vert ou violet),
le
péridot,
la
tanzanite,
la
topaze, transparente, bleue claire à foncée,
la
tourmaline, transparente, (vert, bleu, marron ou rouge pâle),
le
zircon , transparent, (incolore, bleu, vert pâle à vert, brun, etc. ).

Les pierres ornementales :

Appelées également pierres de fantaisie, elles sont opaques ou translucides :

l'agate, translucide, (rayée marron, bleu, blanc, rouge),
l'
alexandrite, variété de chrysoberyl.
l'
ambre, transparent, (diverses nuances de jaune ou d'or),
l'
azurite, opaque, (tachetée bleu foncé),
la
calcédoine, opaque, (blanche),
le
camée,
le
corail rouge, opaque, (rouge écarlate),
la
cornaline, rouge à brun-rouge
l'
hématite, opaque, (gris noir),
le
jade, translucide, (vert pâle, foncé, vert et blanc),
le
jais, opaque, (noir),
la
jaspe, opaque, (bleu, avec reflet noir à marron),
le
lapis-lazuli, opaque, (bleu clair et foncé, taches jaunes),
la
malachite, opaque, (striée, vert clair et foncé),
la
marcassite,
l'
obsidienne, opaque, (noir),
l'
onyx, transparent, (noir pur, blanc pur, ou bandes),
l'
opale, translucide, (bleu pâle avec taches vert et or),
la
perle, translucide, (blanc, jaune, rose, noire),
la
pierre de lune, translucide, (blanche avec lueur bleue pâle),
la
sardoine, opaque, (orange à marron rouge),
le
spinelle, transparent, (rouge, marron, vert foncé),
la
turquoise, opaque, (bleu vert pâle).

Les pierres synthétiques :

Ces pierres sont produites industriellement, généralement afin d'imiter des pierres naturelles recherchées ; par exemple :

la moissanite.

วันพุธที่ 4 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Le pain

Le pain est un aliment de base dans de nombreuses sociétés humaines. Il est fabriqué à partir de farine, de levure ou levain, de sel et d'eau. La pâte du pain est soumise à un gonflement (pâte levée) dû à la fermentation, c'est ce qui caractérise le pain par rapport à la galette. La farine provient principalement de céréales panifiables : blé et seigle. On peut y adjoindre, en quantité modérée des farines d'autres provenances : autres céréales (orge, maïs), châtaigne, noix… En effet, les céréales panifiables se caractérisent par la présence de gluten, ensembles de protéines aux propriétés élastiques qui permettent d'emprisonner les bulles de gaz carbonique dégagées par la fermentation . C'est ce qui permet la levée de la pâte.


Historique :


On attribue l'invention du pain aux Égyptiens, qui l’auraient découvert par hasard. De la pâte à pain sans levain (eau, lait et farine d'orge et de millet) aurait été oubliée, se serait « gâtée », mais aurait tout de même été cuite, permettant la découverte du pain avec levain. C'est en Égypte qu'on a retrouvé les plus anciennes représentations de pain, datant du IIe millénaire av. J.-C..


Le pain dans le monde



France :

La fabrication est règlementée par la loi : le pain normal doit être préparé à partir de farine de blé tendre (froment).
Le pain contient 2,5 - 2,7
g de sel (baguette) soit les besoins journaliers d’une personne. Le pain ainsi que d'autres aliments préparés vont devoir réduire leur teneur en sodium de 20 % en cinq ans. En outre un étiquetage indiquant la quantité de sel est envisagé.
Un pain sans levure est dit
pain azyme.
L'
artisan qui pétrit et cuit le pain est un boulanger.


Différents types de pains


L'Encyclopédie de Diderot recense une trentaine de noms de pains :

le boulot
la
faluche, en Flandre
la
fouée, en Touraine
la
fougasse, dans le Midi
la
gâche
le
pain au levain
le
pain azyme
le
pain bûcheron
le
pain de campagne
le
pain épi
le
pain Napoléon, à Cherbourg
le
pain polka


Les pains fantaisie peuvent incorporer des noix, des châtaignes, des morceaux de lard… et avoir toutes sortes de formes.
Les pains sont classés en fonction des farines utilisées :

pain blanc
pain bis
pain complet

La législation française classe les pains selon la composition et la technique de fabrication : pain de tradition française, pain maison, pain au levain, pain cuit au feu de bois, pain à l'ancienne, pain de campagne, pain de seigle, pain de son, pain de froment, pain courant français.

วันจันทร์ที่ 2 กรกฎาคม พ.ศ. 2550